La route avait été longue depuis la Lorraine. Le chemin n’avait pas été facile, contrairement à la France, les routes étaient en mauvais état en terres d’empire, qui plus est lorsqu’elles étaient en montagne. Plusieurs fois, il avait dut descendre de cheval pour contourner certains points dangereux. Heureusement, il était en été, et donc par conséquent, la neige ne se rencontrait pas sous ces latitudes. Le jeune seigneur était venu sans escorte… c’était plus discret et puis… il se fichait des brigands. Normal, il était jeune. Après bien des péripéties qui mériteraient d’être contées (mais on a nu le temps ni la place pour cela), Chlo arriva enfin au château de Chablais;
boucle dans sa t
C’était bien ici, visiblement. De toute façon il n’existait aucun autre Chablais. Au fur et à mesure que ses pas le rapprochaient de la sombre bâtisse, clos se demandait de plus en plus pourquoi il était là. La conversation, ou plutôt ses mots clés repassaient en tête, sans qu’il ne sache démêler le vrai du faux.
Il entra dans la cour, heureusement, les gardes habitués n’avaient pas opposé de résistance. Il descendit de son cheval qu’il caressa légèrement… le pauvre… l’ancien était mort à Langrit… Le nouveau était bon également, mais rien de comparable avec plusieurs années de dressage. Un serviteur s’approcha alors de lui.
Veuillez annoncer à la duchesse qu’un jeune homme tien à vérifier de lui-même le fait que chevaucher sur les terres de Chablais soit agréabls